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Bassirou Ndiaye couche avec Anta Konté, l’épouse de son beaux-frères durant les 5 années de son absence et filme ses ébats

by amadou

Le sieur Bassirou Ndiaye est le contre exemple même de la sacralité des liens de parenté. Le frère de sa femme ayant émigré en Europe, Bassirou Ndiaye a eu des yeux doux pour l’épouse de ce dernier. Pendant 5 ans, il couchait avec cette dernière. Pire, il s’est même permis de filmer certains de leurs ébats. C’est ainsi qu’il a été traîné hier devant le tribunal des flagrants délits de Dakar par la dame Anta Konté, pour des faits de charlatanisme et de collecte illicite de données à caractère personnel.

Anta Konté ne rend pas honneur à la gent féminine. Cette dernière, avec un époux qui a émigré en Europe durant 5 ans, au lieu de lui rester fidèle, s’est trouvé un amant. Et elle n’est pas allée chercher loin. Elle sortait avecBassirou Ndiaye, le beau-frère de son époux.Pour en revenir aux faits, Bassirou Ndiaye vivait dans la maison familiale de son épouse en même temps que Anta Konté, épouse du frère de sa femme. Ce qui fait qu’Anta l’appelait affectueusement «PapaBass». Ce signe de respect n’a pas empêché Bassirou de jeter son dévolu sur la dame. Pris par on ne sait quoi, il a commencé à la courtiser. Au début, Anta Konté l’envoyait balader. Mais, cela ne l’a pas découragé. Il a attendu que l’époux de Anta Kontéaille en Europe pour proposer à cette dernière de l’accompagner auprès d’un marabout pour des séances de prières. C’est alors le début du cauchemar d’Anta Konté. Car, après avoir utilisé les bains mystiques que lui avait remis le marabout, Anta a perdu toute lucidité et obéissait à la lettre aux ordres de Bassirou.

Les explications tirées par les cheveux de Anta Konté

Ainsi, durant les 5 années que son mari est resté en Europe, elle était dans les bras de Bassirou Ndiaye. Elle le suivait partout où il allait. Toutefois, un bon jour, son mari l’informa d’un retour au pays. Au lieu de s’en réjouir, elleen a parlé à Bassirou. Celui-cilui demande de quitter la maison conjugale pour aller chez sa tante à Touba,parce que il ne pouvait pas supporter de la voir en compagnie de son époux. Curieusement, Anta a accepté sans piper mot et elle est allée à Touba. «Même en étant à Touba, il me trouvait là-bas. Il m’avait défendu de recevoir mon époux le jour où il devait venir à Touba. Je faisais tout ce qu’il me demandait. Et le pire dans tout ça, quand nous entretenions des rapports sexuels, il se permettait de filmer nos ébats à Touba chez ma tante. Il avait pris une chambre en location pour moi à Yeumbeul et m’avait intimé l’ordre de ne le dire à personne», a déclaré cette dame qui dit avoir été envoûtée.
Mère de 3 enfants, Anta Konté, qui a été répudiée après les faits, avait révélé à l’enquête de police que sa fille aînée avait vu sur son téléphone le film de ses ébats sexuels avec Bassirou. C’est, d’après elle, suite à cela qu’elle s’est rendu compte avoir été envoûtée avant de saisir Dame justice d’une plainte pour collecte illicite d’images obscènes et charlatanisme.

Bassirou Ndiaye : «C’est Anta Konté qui filmait nos rapports sexuels. J’avais de bonnes intentions envers elles puisque je voulais l’épouser»

Devant le juge du tribunal des flagrants délits de Dakar pour lesdits chefs d’inculpation hier, Bassirou Ndiayea nié avec véhémence les faits qui lui sont reprochés. Il a, face au juge, déclaré n’avoir jamais conduit Anta chez un marabout. S’agissant de la collecte d’images obscènes, il a botté en touche tout en l’imputant à son amante. «C’est Anta Konté qui filmait nos rapports sexuels. J’avais de bonnes intentions envers elles puisque je voulais l’épouser. Même sa tante Fatou Diagne m’avait promis de me donner sa main. C’est ainsi que j’ai commencé à lui rendre visite à Touba», a-t-il laissé entendre.
Avocat de la victime, Me Abdy Nar Ndiaye a avancé que tous ces délits imputés au prévenu ne souffrent d’aucune contestation. Au regard de cela, la robe noire a demandé sa déclaration de culpabilité ainsi qu’une réparation de 2.500.000 F Cfa pour le compte de sa cliente. Le représentant du parquet a de son côté requis l’application de la loi pénale contre le mis en cause. N’étant pas du même avis à propos de la matérialité des faits, le conseil de la défense a plaidé sa relaxe pure. Délibéré le 29 mars prochain.Fatou D. DIONE

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