Création numérique : L’immense fortune que Khaby Lame a touchée en une année

by amadou

Le magazine « Forbes » a récemment dévoilé son classement des 50 créateurs numériques les plus influents de 2023, et parmi eux, le tiktokeur d’origine sénégalaise Khaby Lame est présent, occupant la 11e place avec ses impressionnants 244 millions d’abonnés.

Selon le magazine américain, Khaby Lame, surnommé le « Charlie Chaplin des temps modernes », a généré des revenus bruts de 16,5 millions de dollars (10 238 250 000 Fcfa) entre juin 2022 et juin 2023. Il a réussi à accumuler une telle somme grâce à ses partenariats avec des entreprises renommées telles que Hugo Boss, Binance, la banque du Moyen-Orient QNB, Fortnite et State Farm.

Aujourd’hui, il touche 750 000 dollars pour promouvoir un produit dans une publication TikTok ou Instagram. Cependant, il est sélectif quant aux marques avec lesquelles il collabore, privilégiant celles qui correspondent à ses valeurs : « Je refuse la plupart des demandes », explique-t-il. « Je veux travailler de manière responsable. Je n’ai jamais travaillé avec des entreprises de produits alcoolisés, de cigarettes ou de produits nuisibles pour la santé, car de nombreux enfants me suivent ».

Bien que Khaby Lame jouisse d’un grand succès financier, il n’est pas l’influenceur le mieux rémunéré en 2023. La première place de ce classement « Forbes » revient à MrBeast, le YouTuber Jimmy Donaldson, qui a gagné 82 millions de dollars au cours de la même période grâce à ses 312 millions d’abonnés. Selon Forbes, il est un véritable « titan de YouTube ». La deuxième place est occupée par l’influenceur controversé anglais Olajide Olatunji, alias « KSL », avec des gains de 24 millions de dollars en un an. Le

boxeur professionnel américain Jake Paul complète le top 3.

Il est important de noter que ces influenceurs ne génèrent pas leur fortune uniquement grâce aux publicités traditionnelles sur les plateformes numériques. La plupart d’entre eux ont des contrats avec diverses marques de boissons ou de vêtements. Certains sont même propriétaires d’entreprises, de marques et de services, exploitant ainsi leur notoriété sur les réseaux sociaux pour générer des revenus.

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