Au moment où le Syndicat unique des Travailleurs du Trésor minimise le cambriolage, les enquêteurs de la sûreté urbaine ont démultiplié les auditions pour cerner le mystère qui entoure cette casse.
Dans l’affaire du cambriolage au Trésor public, la sûreté urbaine a entamé les auditions. Selon L’Observateur, pour les besoins de l’enquête, plusieurs cadres de la direction de l’informatique du Trésor ont défilé devant les limiers.
Selon le journal, parmi les personnes auditionnées sur procès-verbal, figurent certains occupants des bureaux visités par les cambrioleurs. Aussi, la patronne de la Direction de l’informatique du Trésor, convoquée en sa qualité de responsable morale de l’institution, a été entendue.
L’agent de police A. G et le vigile J. M. N qui était de garde la nuit des faits, ont également été auditionné. Cette audition marathon a pris fin en début de soirée.
Les cadres de la Direction de l’informatique du Trésor auditionnés sont repartis libres du Commissariat central, avec l’obligation de répondre à toute réquisition ultérieure de la police. L’agent du Gmi, qui est sous le coup d’un arrêt de rigueur, ainsi que le vigile en question, sont aussi repartis libres.
Les limiers ont aussi procédé à l’exploitation des caméras de surveillance. Mais, l’opération se heurte à la faible résolution des images filmées la nuit des faits.
igfm
